« LaBoîte » : l’émission qui fait briller la littérature autrement

Laissez-moi vous raconter l’histoire d’une émission littéraire pas comme les autres : LaBoîte.
Au départ, un auteur qui voulait surtout parler des autres — déjà, être écrivain et altruiste, ça tient plus du fantastique que du réalisme.
Avec trois bouts de ficelle, un micro qui grésille et la ténacité d’un sanglier ardennais sous caféine, Frédéric Ernotte a transformé son idée en rendez-vous hebdomadaire.
Aujourd’hui, « LaBoîte » n’est plus seulement une émission : c’est un cabaret littéraire en live, un mélange improbable entre scène ouverte et confessionnal, où auteurs et acteurs du livre se mettent à nu… mais avec des mots. 
Bref, c’est l’histoire d’un mec… qui a mis les autres dans la lumière et s’est retrouvé, sans le vouloir, à briller avec eux.

Un début comme on en connaissait pas !

Il y a quelques années maintenant, Frédéric Ernotte (oui oui, l’auteur de C’est dans « laBoite », Ne sautez pas, Comme des mouches et le Malheur des uns…c’est bien lui ! ) s’est lancé un défi dingue : créer une émission littéraire hebdomadaire.
Un défi de dingue car partir de zéro, c’est jamais évident. Mais Pour Frédéric, si c’est un défi…il est à relever !

Cet homme aime les défis compliqué, mais ne renonce jamais !

Il fallait bien un endroit où faire rentrer les gens et très vite, la plateforme Discord est devenue son terrain de jeu ! Oui, Discord.
Ce lieu habituellement réservé aux gamers vociférant dans leur micro est soudainement devenu un salon feutré où l’on parle littérature et où l’on échange des coups de cœur plutôt que des headshots.

L’émission a trouvé son nom presque toute seule : « LaBoîte ». Un espace confiné que l’auteur connait bien (ndlr : faisant référence à son premier roman « C’est dans la Boîte »), où chacun pouvait entrer, se retrouver, et interagir avec l’invité. À l’origine, c’était simple : chaque semaine, un auteur, un micro, un public. C’était une sorte de podcast en live, où Frederic était maître des lieux et interviewait les auteurs… et où les spectateurs pouvaient poser des questions à l’auteur.

Cliquez sur l’image pour voir l’émission  » A l’ancienne » !

Il fallait donc changer de scène, élargir le cadre, multiplier les caméras. Bref, offrir un peu plus qu’un auteur en plein gros plan. La décision tombe : « LaBoîte » quitte l’arène des gamers pour s’installer sur une autre : Twitch. Comme quoi, même les émissions littéraires peuvent avoir besoin d’un relooking… numérique.

« LaBoîte » quitte Discord pour Twitch

Rapidement, la formule évolue : de l’audio, un soupçon de vidéo et toujours une bonne dose de passion. Seul hic : Discord n’autorisait qu’une star à l’écran, l’auteur invité. Résultat : on voyait son visage s’illuminer… tandis que Frédéric restait planqué dans l’ombre, façon narrateur fantôme. Pas très convivial pour un “salon littéraire”.

« LaBoîte » : des livres, des vies et deux allumés aux commandes 

Petit à petit, « LaBoîte » s’agrandit. Désormais, on ne voit plus seulement l’invité mais aussi la frimousse de son animateur, Frédéric Ernotte. Et attention, je n’ai pas dit “l’auteur invité” ! Parce qu’un livre, ce n’est pas seulement celui ou celle qui l’a écrit : c’est une véritable chaîne de montage littéraire. On y croise des éditeurs (quand il y en a), des blogueurs, des bibliothécaires, des correcteurs, des lecteurs (parfois professionnels, parfois juste insomniaques)… bref, toute une galerie de personnages que l’émission met aussi à l’honneur.

Mais si la mécanique roule si bien, c’est qu’il y a un artisan de l’ombre : Kiko. Le cerveau technique, l’ingénieur du son, le dompteur de flux vidéo… et surtout celui qui freine les élans un peu trop farfelus de Fred. Car Fred, lui, a mille idées à la minute. Normal, il est auteur : il écrit plus vite qu’un clavier ne peut le supporter. Mais à un moment, il faut quelqu’un pour dire : “Attends Fred, est-ce que c’est techniquement possible ?

Les deux comparses en pleine complicité !

Ensemble, ils forment un duo digne des grands classiques : un peu Laurel et Hardy, un peu Bob Morane et Bill Ballantine. L’un rêve, l’autre ajuste. Et à la fin, ça marche. Et avouons-le : c’est beau à voir… même en streaming.

« LaBoîte » : du salon virtuel à « LaBoîte mobile « 


Encore une fois, L’émission a décidé de grandir. Nouveau logo, nouvelle proposition aux spectateurs.
Et, astuce géniale : proposer plus de contenu… sans que Fred n’ait à travailler davantage. Résultat ? L’arrivée des chroniqueurs. Ils parlent de BD, de littérature (belge ou pas, noire ou pas, feelgood ou pas), des prochains salons littéraires… bref, chez Frédéric, tout est possible, sauf peut-être le tricot — et encore, on ne parierait pas dessus.

Alors oui, parfois, il y a des ratés. Mais c’est justement ça, la beauté du direct : une connexion internet qui s’évapore, un téléphone qui surchauffe (et qu’on finit par ranger dans le frigo, entre le camembert et la confiture), une panne d’électricité qui plonge tout le monde dans le noir… « LaBoîte« , l’imprévu n’est pas un accident, c’est presque une tradition.

Et au fil du temps, la liste des chroniqueurs s’allonge. Certains arrivent, d’autres repartent, comme dans un bal littéraire permanent. Mais tous gardent la même mission : faire vivre les livres et les mots, avec passion… et parfois avec une rallonge multiprise en secours.

Après plusieurs années sur Twitch, « LaBoîte » n’a pas seulement grandi… elle s’est mise sur roues. Nouveau concept : « LaBoîte mobile« . Parce que oui, l’émission se déplace désormais partout où on veut bien l’accueillir : dans un salon, une école… bref, là où il y a des livres et des gens pour en parler.

Évidemment, on ne part pas sans son duo de choc : Fred et Kiko. Kiko, véritable MacGyver de « LaBoîte », est capable de monter un studio complet avec trois rallonges, deux câbles USB et un rouleau de gaffer. Pendant que Fred, lui, fait ce qu’il sait le mieux : parler, interviewer, rebondir — et parfois s’émerveiller qu’il y ait du Wi-Fi jusque dans une salle des fêtes communale.

En direct d’un salon, on est à la source : auteurs, bénévoles, organisateurs, autorités locales, parfois même la police municipale (non pas pour trouble à l’ordre public, mais pour couper un ruban). C’est une plongée totale dans les coulisses du livre, avec la convivialité en prime.

Et si vous rêvez de voir LaBoîte mobile débarquer à votre événement… un petit message à son créateur, et hop, elle se gare devant chez vous. Avec un peu de chance, Kiko trouvera même une prise électrique qui fonctionne.

« LaBoîte » : nouveaux visages, nouvelles voix 


Et que dire de cette émission qui trouve toujours un nouveau sourire toujours sous l’oeil attentif de Frédéric .
Les chroniqueurs, hier simples voix complices, deviennent intervieweurs. Résultat : de nouveaux visages d’auteurs apparaissent à l’écran, parfois avec des surprises à la clé.

On y croise désormais de grands noms de la littérature chose qu’on , mais aussi des auteurs moins connus qui, avec l’enthousiasme de ces nouveaux intervieweurs, peuvent aussi pousser la porte de LaBoîte. Comme quoi, parfois, il suffit d’une invitation bien placée pour transformer un écrivain de l’ombre en invité du jour.

Le programme s’étoffe donc : littérature noire, indépendante, feel good, littérature belge… et la saison promet encore d’autres découvertes. Bref, LaBoîte est devenue un buffet littéraire à volonté : chacun y trouve son plat préféré, et parfois même un dessert inattendu.

Et tous ce contenu, tous ces invités passé par LaBoîte se retrouve aussi sur Youtube. Car si vous ratez l’émission, pas de panique ! Frédéric Ernotte assure le show !
Sur YouTube, ou en Podcast audio, laBoîte vous propose tant l’interview de l’invité ou de la parenthèse psychopathe de Nathalie ou le portrait d’auteur de l’invité de Thibault.’c’est moi)…et je met ma main à coupé que d’autre type de contenu parallèle viendra compléter la liste !


Les permanents de LaBoîtes (pour cette saison 2025 – 2026)

Laissez-moi vous expliquer qui seront les acteurs de LaBoîte cette année. Et attention : ça ne va pas être une boîte à bijoux… mais plutôt une boîte à surprises.

Au programme ? Des chroniqueurs capables de vous parler littérature noire sans vous plomber la soirée (enfin… presque), des passionnés qui lisent plus vite que leur ombre, des profs qui défendent les autrices belges comme si c’était une discipline olympique, et même des geeks qui inventent des robots pour modérer le chat (si, si, ça existe).

Frédéric Ernotte – Le CEO

Fédéric Ernotte, animateur de l’émission littéraire LaBoîte (Twitch, YouTube, podcast), est aussi écrivain de thrillers au style vif, structuré et teinté d’humour noir. Il a publié quatre romans : C’est dans la boîteNe sautez pas !Comme des mouches et Le Malheur des uns, tous centrés sur l’exploration des zones sombres de l’âme humaine.
En bref : un barman littéraire qui mélange passion de la scène et du suspense, pour le plus grand plaisir de ses lecteurs.

Kiko – Mi-Homme, mi-Robot

Christophe, alias Kiko, c’est l’homme de l’ombre… mais branché en plein courant. Admin Système et Réseau le jour, dompteur de chat (virtuel et parfois réel) la nuit, il a inventé le Robot2Kiko, preuve qu’on peut être à la fois geek et poète binaire. Bras droit de Fred, il relève tous les défis techniques, même ceux qui défient la technique elle-même — ce qui, avouons-le, relève plus de la magie noire que de l’informatique. Sa PAL enfle à chaque live, au point qu’on se demande si elle ne va pas demander un hébergement cloud. Bref, Kiko, c’est un peu Wikipédia… mais avec plus de sarcasme et un meilleur antivirus.

Nathalie (de Mes lectures du dimanche) – La psycopathe revendiquée !

Nathalie, c’est un paradoxe ambulant : un sourire d’institutrice modèle qui cache une passion assumée pour les cadavres littéraires. Elle parle thrillers et romans noirs avec la douceur d’une voisine qui vous prêterait du sucre… avant de vous expliquer comment faire disparaître le corps avec. En live, sa parenthèse psychopathe devient une encyclopédie de l’alibi parfait : on l’écoute en riant, mais on prend des notes, au cas où. Fan inconditionnelle du salon Iris Noir, elle le défend bec, ongle et scalpel si nécessaire. Bref, Nathalie, c’est la preuve qu’on peut aimer la littérature noire… tout en restant une fille sage — ou presque.

Jessica (de Shka Chronique) – L’hybride du groupe

Derrière Shka, il y a Jessica : une lectrice tellement rapide qu’on se demande si elle ne scanne pas les livres avec la rétine comme une caisse du Super Marché.
Autrice hybride, chroniqueuse et modératrice, elle peut passer d’un polar sanglant à une romance sucrée sans même se rincer l’âme entre deux chapitres. Dans LaBoîte, elle pose des questions si décalées que parfois même les auteurs vérifient s’ils n’ont pas écrit un autre livre sans le savoir. Un mélange improbable entre Morgane Alvaro et une machine à café : imprévisible mais indispensable. Bref, avec Shka, la littérature n’a plus de frontières… sauf peut-être celles de sa PAL, et encore, elles sont en chantier.

Plouchette – L’élégante discrétion

Céline, c’est un peu l’agent secret de LaBoîte : on croit qu’elle est discrète, mais en vrai elle recrute plus d’auteurs qu’une secte bien rodée (sans la robe de cérémonie, rassurez-vous).
Ch’ti parachutée dans le Val-de-Marne, elle a troqué le maroilles contre les salons littéraires, et croyez-moi, ça parfume moins mais ça attire plus de monde.
Elle vit chaque live avec le trouillomètre au plafond et un chat prêt à saboter la connexion (le vrai boss, c’est Pimousse).
Fan de thrillers qui glacent le sang et de poésie qui réchauffe le cœur, elle incarne cette douce contradiction : faire peur avec un livre, puis consoler avec un vers.
Bref, Plouchette c’est la preuve vivante qu’on peut avoir un modem capricieux, et toujours la passion intacte.

Stéphanie – La joueuse !

Stéphanie, c’est la James Bond des soirées jeux… sauf qu’elle n’a ni smoking, ni Aston Martin, juste une connexion Wi-Fi et une imagination qui carbure au café.
Officiellement, elle habite Namur.
Officieusement, c’est une magicienne de l’ombre qu’on garde enfermée dans une cave pour qu’elle invente des quiz vintage capables de faire douter même Google.
Fan d’Agatha Christie depuis l’adolescence, elle a appris qu’on pouvait tuer élégamment… et recommander le meurtre avec un sourire. Discrète mais indispensable, elle prouve qu’on peut avoir une PAL de 500 livres et encore trouver le moyen de dire « allez, juste un dernier ».

Amy (de Amyddicted_to_books) – L’éclectique

Amélie, c’est l’énergie nucléaire de LaBoîte : pas besoin d’Ecolo pour la transition, elle carbure aux livres.
Prof le jour, lectrice la nuit, elle défend les autrices belges avec un tel enthousiasme qu’on se demande si elle ne cache pas un drapeau tricolore sous ses cheveux… qui, soit dit en passant, changent plus souvent de couleur qu’un feu rouge bruxellois. E
lle peut passer de Musso à la dark romance sans se fouler la cheville, preuve que la gymnastique littéraire est un sport de haut niveau. Chaque live avec elle, c’est une coupe du monde de sincérité : pas de VAR, juste des émotions brutes.
Bref, Amélie, c’est une tempête de joie… avec option permanente chez le coiffeur.

Lucie (de a-book-story) – La nouvelle

Lucie, c’est la petite nouvelle de LaBoîte, mais avec un super-pouvoir rare : transformer les pannes de lecture en ouverture sur d’autres univers.
Quand d’autres se bloquent sur trois chapitres, elle, elle se dit : « Tiens, si je testais les comics ? » Résultat : elle nous parle de Wolverine avec des étoiles dans les yeux, comme si c’était son voisin de palier.
Ses chroniques, ce sera comme le dit Obispo : « c’est pas marqué dans les livres », mais ça donne envie d’aller voir ailleurs.
Bref, Lucie, c’est la preuve qu’on peut entrer dans la littérature par une porte qu’on aurait pas imaginé !

Thibault (moi)

Bon, je dois encore me présenter ? Vraiment ?
Alors lisez l’article de Nathalie, elle a fait une superbe description à laquelle, je l’avoue, j’ai rougi un peu.

Téma l’équipe du chef !

Voilà une vraie bande de doux dingues, chacun avec son style, ses coups de cœur et ses obsessions littéraires. Je vous le dis : cette année, ça risque d’être complètement fou… et vous allez adorer être enfermés dans « LaBoîte » avec nous.

Alors maintenant, saurez vous mettre un visage sur un nom ?
Pourrez-vous associez un nom au numéro ? Allez hop, au jeu ! Mettez votre réponse en commentaire !

Et maintenant

Maintenant que vous savez ce qu’est « LaBoîte » et où la trouver, vous n’avez plus aucune excuse pour ne pas soulever le couvercle et y plonger la tête la première.

Tous les mardis à 20h30, on vous attend : sur Twitch, sur YouTube… ou sur les deux en même temps si vous êtes du genre à vivre dangereusement.

Si vous le souhaitez, n’hésitez pas à regarder le calendrier des invités (ICI) pour poser vos plus belles questions !

Alors, vous venez ? Parce que franchement, manquer « LaBoîte », c’est un peu comme oublier de mettre des frites avec sa mayo : techniquement possible, mais moralement inacceptable.

Et abonnez vous à ce blog, on vous dira bientôt comment vous pouvez aider cette émission à grandir et à être encore plus folle !
A bientôt

5/5

Comments (1)

  • Jessica Cousin

    23/09/2025 at 15:29

    Merci pour ce bel article qui m’a bien fait marrer! Ravie d’être dans cette team aux goûts éclectiques !

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